Les entreprises sont sommées d’aller plus vite : mettre plus vite sur le marché de nouveaux produits, fabriquer plus vite, livrer plus vite, renouveler plus vite… Leur environnement les invite également à toujours être les premières : marque préférée des consommateurs, employeur préféré de ses collaborateurs, valeur préférée des investisseurs…
Ces besoins d’accélérer et de sur-performer se conjuguent avec une exigence de conformité dans tous les domaines et mettent sous pression les équipes et leurs dirigeants.
La transformation digitale, loin d’être achevée, apporte des ressources appréciées pour relever le défi. En particulier, les ERP constituent une solution reconnue pour unifier les processus et augmenter la puissance de traitement des opérations.
Mais ces ERP d’ancienne génération atteignent leurs limites dès lors que
l’agilité, l’intelligence collective et la projection internationale rapide deviennent incontournables.
Avec la plateforme Sage Business Cloud X3, socle de Sage X3, Sage démontre qu’il est possible d’allier les qualités de puissance attachées à l’ancienne génération des ERP aux promesses des technologies les plus innovantes exploitées dans le Cloud.
La souplesse de leur business model
La digitalisation de l’accès aux biens et services et la volatilité des préférences des
clients remettent en cause en permanence les positions relatives des acteurs économiques.
Cette fragilité des équilibres requiert la plus grande agilité de la part des entreprises dans leur manière d’adresser leur marché.
Une relation directe avec les utilisateurs, la capacité à leur faire vivre une expérience singulière et l’innovation utile constituent les
impératifs stratégiques pour rester dans la
course.
Le renforcement de leur écosystème d’alliance et de co-innovation
La capacité d’action et d’innovation d’une
entreprise s’apprécie à travers la densité et la robustesse de son tissu d’alliances.
Alliances externes, dans le cadre d’une relation partenariale avec des fournisseurs et des
prestataires engagés dans une communauté
d’intérêts bien compris.
Alliances internes, entretenues par un dialogue
social loyal et une valorisation de l’intelligence
collective.
La valorisation des informations
La transformation digitale à l’intérieur des entreprises
comme celle des relations inter-entreprises induisent
la génération d’un volume de données d’une ampleur
et d’une précision inédites. Les entreprises évoluent
désormais dans l’ère du big data.
L’enjeu pour les acteurs est de pouvoir traiter et
analyser les informations pertinentes au plus près
de leur activité.
La maîtrise des risques numériques
La digitalisation des échanges et la valeur
intrinsèque des données rendent toute réduction de
la fluidité et toute faille dans le circuit d’information
problématiques pour l’activité des entreprises.
Par ailleurs, l’accès et le traitement de données
personnelles, de clients comme de collaborateurs,
sont encadrés par des principes éthiques et des
règlements contraignants qu’il convient de prendre
en considération.
Une véritable culture de la responsabilité à l’égard
des données, que l’on détient et/ou que l’on
traite, est encore à construire dans la plupart des
organisations.
Le développement des compétences des équipes et du leadership des dirigeants
L’intégration de technologies adaptées et la refonte de l’organisation des entreprises dans une optique d’ouverture et de créativité sont nécessaires mais non suffisantes pour apporter la souplesse nécessaire. Le cinquième levier de la compétitivité des entreprises est d’ordre culturel et humain. Les femmes et les hommes de l’entreprise doivent bénéficier d’un accompagnement renforcé pour disposer des clés :
- Comprendre ce qui est en jeu
- Adhérer à la stratégie de transformation
- Rendre les technologies productives et l’organisation efficiente grâce à un comportement opportun
